Je m'étais levé tôt ce matin, pour la simple et bonne raison que Théa avait besoin de bouger et je me devais de l'accompagner  on avait avec Danny choisit de sortir notre soeur chacun autre tour car depuis son retour, elle me semblait pâle et monotone.
" Allez ! Après les magasins ont va aller se promener dans le parc ", elle n'était plus si enthousiaste qu'avant quand l'on parler de faire les magasin ou d'aller se promener, elle était morose du matin au soir.
" Tu sais que tu peux tout me dire ma Théa, je suis la pour toi" , elle m'avait regarder de son air de chien battue et m'avait mis la tête dans mon beignet. En ce mettant a rire comme une idiote, tout le monde nous regardait déjà à peine rentrée dans le parc sachant qui l'on était mais il suffisait qu'elle se mettent à faire son amusette pour qu'ils s'arrêtaient tous sur nous.
"Tu n'es qu'une folle ma chère" Après avoir bien ris avec elle, nous avions continuer à nous amuser comme des enfants de quatre ans voir moins, elle sautait en talon aiguille dans les flaques d'eau et moi je l'a poussé dans les buissons, il n'y avait rien a dire, je l'aimais ainsi, alors qu'elle avait mal au pied nous avons décidé de nous arrêter sur un banc, elle posa sa tête sur mon épaule et enroula son bras autour du mien, je pose ma tête sur la sienne en regardant devant moi. C'est à ce moment précis que j'aperçois cette petite tête blonde, qui nous regarde, je n'étais pas si sur de ma vision, pas sur que ce soit elle, je la regarde plus précisément et la reconnait ce qui me fait sursauter et je me retire de ma soeur d'un coup sec.

Mon frère aîné Matthews était venu ce matin dans ma chambre avec un petit déjeuné, il n'était que sept heure, il' m'avait sorti l'excuse bidon qu'il lui fallait de l'aide pour trouver des nouveaux vêtements à Céleste sans qu'elle ne le sache et connaissant cette adolescente pubère en pleine crise quoi qu'il lui achète elle fera une crise soit pour la colorie ou la matière ou même le motif, et oui c'est difficile d'être une fille. Mais je savais pertinemment que ce n'était qu'un prétexte puisque deux jours plutot Danny m'avait aussi fait le coup de l'armoire a modernisé ! Ils ne savent même plus quoi inventé comme prétexte ces deux là. Je le suis tout de même levé et du mauvais pied soit dite en passant... Je n'étais pas enthousiaste à faire les magasin car je savais que derrière tout ça il se tramait quelque chose de louches, mais deux frères qui me questionnent ça me semble louche. Il me parle et je fais semblant d'ignorer jusqu'à la phrases fatidique, je savais que la, il ne me lâcherait pas j'ai donc jouer le rôle de la soeur enfantine de 24 ans, j'ai attrapé son beignet et le lui ai mis dans la figure comme une enfant. Et c'était des plus amusant, ça m'a rappelée le bon vieux temps et toutes nos âneries jusqu'à ce que nos parents s'arrachent les cheveux nous étions intenable et ça n'avait pas changer, je voyais les regard sur nous et pourtant ça ne me faisait plus rien j'en avais trop l'habitude. Je m'amusais à sauter a cloche-pied dans les flaque d'eau avec mes escarpins louboutin hors de prix, mais bref passons. Le moment le plus bizarre c'est quand nous nous sommes installé sur le banc, j'avais extrêmement mal au pieds à force de faire mes âneries. Nous étions installé moi blottit contre lui les yeux fermé j'essayais d'oublier la douleur quand tout un coup il me bouscula pour se retirer d'un geste brusque "MATTHEWS JUNIOR J..." Je n'avais pas finis d'hurler qu'il avait mis sa mains sur ma bouche en me regardant de son air désolé que je connaissait mieux que personne.

Je les avais longuement regarder, intésement même, sans m'en rendre compte. Comment pouvait il me faire ça ? Avait il été sincère pendant tout ce temps ? Je ne savais plus croire, je n'y arrivais plus. J'aurais du partit à cet instant même, oui j'aurais du. Comment pouvait il est encore plus proche d'elle qu'il ne l'avait été avec moi ?

Même si cela ne fait pas longtemps que nous sommes proches, j'estime un peu plus de sincérité de sa part. Il est celui qui m'a fait croire de nouveau que quelque chose de fort pouvait exister. Je sors d'une relation compliquée, je pensais pouvoir refaire confiance. Mon ami me conseillait de partir pendant qu'il en était encore temps. Mais quand je vis qu'il me regardait, et qu'il s'était écarter d'elle brusquement avant de poser une main sur sa bouche, je devenais folle.

J'avançais d'un pas déterminé, prennant mon ami par le bras, me rapprochant d'eux de plus en plus. Je m'arrêtais net devant eux, ayant eu un regard furtif sur la jeune fille avant de me concentrée sur lui.

-Je comprend mieux pourquoi je n'avais pas de message. Tu pourrais me présenter Matthews non?
Cela ne faisait pas très crédible cet élan de jalousie quand on tient son ami au bras mais qu'importe, je ne répondais plus de moi même, sans savoir que j'allais surement le regretter par la suite.

J’étais en train de stresser pour la première fois de ma vie, je ne savais pas quoi faire, je la regardais espérant qu’elle ne trahis rien, qu’elle ne s’approche pas et qu’elle ne créait aucun problème, je regarde ma sœur qui relève un sourcil par étonnement. Si je lui dis maintenant elle me fait une crise de cents ans et je l’aurais sur mes semelles pendant trente ans encore. Mais je ne savais pas pourquoi je sentais que ça aller mal tournée pour moi quand, je la vois s’approcher, priant pour qu’elle me demande son chemin, qu’elle comprenne qu’il ne faut rien faire la maintenant, mais la voyant s’approcher au bras de ce mec, je sens ma mâchoire se crisper. Ma sœur a toujours ce regard sur moi, lorsqu’Ashley est a deux centimètre d’elle, elle ne se retourne que lorsque Ashley commence à parle « Je comprends mieux pourquoi je n'avais pas de message. Tu pourrais me présenter Matthews non? » Et voilà la boulette, je remarque que ma sœur n’a pas apprécier comment Ashley la regardait et à vrai dire le ton de sa voix me déplaît aussi. « Je pense qu’un bonjour aurait été de mise, Mademoiselle, et je ne pense pas vous devoir des comptes » J’essayer de lui faire comprendre par tous les moyens que ce n’était guère le moment, ni le jour. Je voyais ma sœur bouillonnait et la connaissant, elle n’allait pas être tendre, quand j’allais retirer ma main de sa bouche.  

Je le regarde attendant impatiemment qu’il retire sa main de ma bouche, ne bougeant pas, il regardait dans une direction et je ne comprenais pas ce qui pouvait bien le perturber autant ce matin dans le parc, je ne pensais plus qu’à une chose retirer sa main de ma bouche, pour le frapper gentiment bien sûr, mais une voix me sorti de mes pensées « Je comprends mieux pourquoi je n'avais pas de message. Tu pourrais me présenter Matthews non? » Je regarde mon frère étonné et lance un regard vers la personne, une jeune femme blonde se tenait près de moi, au bras d’un jeune homme, je n’appréciait pas et n’apprécie guère les regards qu’elle me lançait, mais pour qui elle se prenait cette pintade de noël, elle me servirait de servante si je voulais, mais bon les nerfs en vrac, j’avais horreur que mon frère me fasse passé pour une idiote, il allait me devoir des comptes, sa main devant ma bouche, il se mit à lui répondre « Je pense qu’un bonjour aurait été de mise, Mademoiselle, et je ne pense pas vous devoir des comptes » Non, mais il est pas sérieux là, d’un geste brusque de la tête, je retire sa main de ma bouche, les yeux horrifié de mon frère au moment où j’ouvre la bouche, me replonge en enfance, mais je retourne vite à la réalité, en face de la jeune que je regarde de la tête au pied je lui lance assez fort «  Non, mais pour qui vous vous prenez ! En quoi nous devrions vous devoir des présentations, vous ne savez pas qui nous sommes ? » A en voir, le regard de son conjoint, lui le savait, il n’osait même pas me regarder dans les yeux, pendant qu’elle ne baissait pas les yeux ce qui m’énervait encore plus. « Je vous préviens, vous allez changer de ton et de tenue avec moi, je ne suis pas une paysanne de votre rang, vous devez du respect. » Mon frère m’avait enlacé la taille et me tira un coup contre lui me chuchotant à l’oreille de me calmer, je le regard le regard noir «  NON MAIS TU TE FOU DE MA GUEULE LA MATTHEWS ! CE N’EST PAS POSSIBLE AUTREMENT, L’AUTRE ELLE RAMÉNE SON CUL ON LUI A RIEN DEMANDÉ !!! » Il me regarde et regarde la jeune, puis moi à nouveau et elle, son regard qui vacille d’elle à moi commence à me donner le vertige.

Il m'avait donné les larmes aux yeux, il m'avait fait énormément de mal en une fraction de seconde.
Il était tombé bien bas sur ce coup là, et malheureusement pour moi les larmes avaient finies par coulées, idiote que je suis.

-Dans ce cas là, bonjour.

Mes yeux remplies d'eau parfumée à la tristesse s'étaient posés sur elle, et sur toutes les réflexions qu'elle venait de me faire, sans qu'il n'est rien dit. Pour qui se prenait elle ? J'observais son poignet et sur sa gourmette était marquée "James".
Je comprenais mieux pourquoi elle se permettait de me parler comme à un vulgaire chien, mais désolée elle était mal tombée.

-Pardon, mais moi je n'ai pas besoin de papa et maman pour exister, ou plutôt de leur compte en banque.

Je lui avais dis ça avant de me détourner, en larmes. Mon ami me serrait contre lui tandis que nous avancions vers la sortie du parc. Il essayait de me rassurer, il tentait d'estomper mes larmes avec ses paroles. Il me disait que cette fille n'aurait pas du me parler sur ce ton et là je lui dis :

-C'est une James, et tout le monde sait que la famille James a tous les droits ici. Les gens comme toi et moi n'existons pas à leurs yeux.

La colère qu’avait ma sœur n’était pas de mise, elle était en train de lui hurler dessus comme sur personne d’autre même envers nos domestiques elle était plus tendre, mais quand ça ne lui plaisait pas elle partait au quart de tour et les regard et le ton utilisé par Ashley, n’aurait pas plus même à Céleste, elles se regardait d’un œil méchant toute les deux, quand je vis ses larmes glissaient sur les joues d’Ashley, j’étais assez mal, je ne savais plus comment stoppé ma sœur, mais elle ne m’en donna plus très envie, quand elle commença à devenir mauvaise auprès de mon nom de famille, comment pouvait-elle être aussi méchante, sa phrase ricoché plusieurs fois dans ma tête « Pardon, mais moi je n'ai pas besoin de papa et maman pour exister, ou plutôt de leur compte en banque. » Elle pensait vraiment que les James ne vivaient que par le compte en banque, sans même que je comprenne abasourdie par cette phrases, ma sœur avait fait volte-face, pour repartir en me regardant en colère et elle aussi dans l’autre sens, je ne savais pas quoi faire, je regardais ma sœur, sachant fort bien qu’elle ne se retournerai pas et qu’elle allait prendre un malin plaisir à me tirer les vers du nez, mais il fallait que je sache ce qu’elle pense de ma famille, je la suis sans même faire attention à ma sœur et quand je la rattrape enfin sa dernière phrase me brise. Comme-ci on me tirait dans le dos, qu’on m’abattait à coup de massue, « C'est une James, et tout le monde sait que la famille James a tous les droits ici. Les gens comme toi et moi n’existent pas à leurs yeux. » Je la regarde parler, même ses larmes ne me donne envie que de la claquer comme ose-t-elle ! C’était plus fort que moi «  C’est ce que tu crois que les gens comme TOI !!!! Vous n’existez pas !!! Alors mon temps précieux, je vais le passer avoir ma sœur à qui tu as manqué de respect car OUI ASHLEY MOI AUSSI JE SUIS UN JAMES, JE SUIS MATTHEWS JUNIOR JAMES, LE PREMIER DE LA LIGNÉE ! » Je me suis emporté assez violemment à mon goût, mais je réponds plus calmement «  Elle n’est que ma sœur, mais bon ça , ça ne te regardes plus … » Sans même la laisser partir, je me retourne et part d’un pas décidé.

Elle se prenait pour qui la blondasse, là je n’aimais pas manqué de respect au gens et de me montrer supérieur, mais là ça ne pouvais pas être possible, pour qui elle se prenait, ce qui aller me faire plus ce sont ces dernière paroles, car en bonne fille de riche, j’avais tourné les talons, regardant mon frère d’un regard de cendre, il allait m’entendre, on me faisait vivre un enfer depuis mon retour, mais elle ne savait pas en ce qui me concerne ce que je vivais, oui tout le monde connait les James, mais en aucun cas je vivais et n’existais que par le présent portefeuille de mon père, après tout nous étudions tous, de grande chose, je veux devenir avocate, enfin je le voulais et si c’est pour tomber sur des gens qui sont autant ingrats, autant ne plus rien faire, tout ça parce que ton nom est James, qu’il faut que tu vives au crochet de tes parents, une journée à notre place et ils prieraient tous pour revenir à leur vie à eux, notre vie ne se limitent pas à ce qu’ils voient de nous, nous aussi on vit des moments difficiles. J’étais partis, je ne sais où ne comprenant pas où j’étais je recherche mon frère du regard, il ne m’a même pas suivi, il m’a encore laissé tomber quel con ! Je regarde le nom de la rue et va pour retourner au parc, où je recherche d’un œil furtif mon frère avec qu’il traine encore !

Je l'avais entendu hurler, un hurlement comme un crispe dans tout mon corps. Il faisait donc parti de la famille que je venais de critiquer comme une idiote, comme une vulgaire fille débile. Oui je l'avais penser, je n'allais pas dire le contraire mais j'avais peut être été un peu loin. Je me retournais dans un élan pas possible pour lui courir après, déjà trempée de mon footing de ce matin, arrivée à sa hauteur je pris son poignet fermement, avec une adrénaline qui avait fait sécher mes larmes mais qui avait fait monter un tremblement en moi, comme une faiblesse.

-Pardonne moi.. Ou si tu ne veux pas me pardonner, laisse moi au moins te dire que je t'aime vraiment. Je t'ai insulté, j'ai insulté ta famille et même juger ta sœur comme une langue de chienne, je le sais.. Mais je ne peux plus revenir en arrière..

Il ne disait rien sur le coup, il ne le voulait sûrement pas, c'était peut être du passé, comme il venait de me le souligner juste avant. Je calmais mes tremblements, lâchant son poignet.

-Je ne pouvais pas deviner, et je m'en excuse sincèrement. Je m'excuserais auprès de ta sœur aussi dans ce cas. Après tu as peut être raison, rien ne me regarde plus..

Je l'avais regarder dans les yeux, je voulais savoir si il l'avait pensé, on peut tout percevoir dans un regard, et j'espère qu'il avait vu la détresse dans le mien.

Elle m'a rattrapé alors là je n’en revenais pas, pourquoi s’attaher autant si ma famille était si superficielle et que dirait elle quand elle apprendra que j’ai une fille, même si sa réaction me stressais celle qui l'était plus était celle de ma famille, une seule envie me traverser l'esprit, l'embrasser j'en avais plus qu'en vie mais si ma soeur nous voyait et si l'autre abruti qui l'accompagnait nous voyais, je la regardais sans même lui repondre,j'espérait au plus hait point qu'elle n'avait parler de moi à personne! Qu'aucun de ses proches ne connaissait notre "idylle" si je puis dire. Je regarde son ami enfin je l'espère, quand je la prend par la main, si il nous suit je le tue sans exister, je nous met à l'abri de tout regard indiscret, peur qu'un photographe passe par la " tu ne devrais pas être avec quelqu'un comme moi, tu vaux bien mieux que ça ". Je la regardais elle se mordait la lèvre contre l'arbre ou je l'avais pousser, je ne comprenais pas pourquoi ça m'avait toujours fait de l'effet même la première fois que je l'avais vu ... je regarde d'un regard furtif autour de moi avant de l'embrasser fougueusement sur les levres, mes mains autour de sa tête !  

Je la regardais dans les yeux, m'y noyant même elle était ce sourire qui faisait de moi un nouvel homme, je savais que la perdre serait épouvantable mais la fille passait avant tout elle savait me rassurer j'avais vu ma soeur repartir en direction de la maison , elle allait m'en faire baver, quand ses lèvres se posèrent à nouveau sur les miennes, j'eu un moment de recul. " Je suis désolé mais non je ne suis pas parfait pour toi, je suis bien plus vieux, tu devrais voir ailleurs." Même si je savais que l'âge n'était qu'un prétexte je ne pouvais pas lui avouer pour ma fille, il était même étonnant qu'elle n'en ai pas fait elle même le lien, elle ne devait pas connaitre ma famille si bien que ça . " Je ne suis pas celui que tu crois !"

Je la regarde sans rien laisser paraître dans mon regard, mes parents m'avait au moins appris à ne pas mal vivre mes ruptures, mais elle ne connaissait même pas ma famille et en plus elle l'avait juger sans même la connaitre ... J'avais été traité de la sorte dans mes années lycée de fils à papa ou de je ne sais quoi encore, car ils étaient tous jaloux de ma place alors qu'elle n'avait rien à être enviée, j'ai été ressaisit lorsqu'elle me plaque contre l'ambre, j'aurais pu grimacer si seulement cela m'avait annoncer une douleur mais non rien, Ele par contre n'avait la hériter de ma façon d'être stoïque à ses rupture ! " Tu veux que je te dise qui je suis mais je pense que tu le sais puisque tu t'es permise de juger tous les membres James sans exception , et pourquoi te répondrai-je car a tes yeux, tu penses qu'au miens tu n'hésite pas ! Tu comprends ? " Il faisait ce sourire machiavélique qui lui seul en avait le secret comme quoi il allait essayer de passer à un autre sujet " Dis moi ce que tu sais de moi le grand Matthews Junior James " Je m'assis par terre et la regarde , la tête relevée vers elle.

Elle ne savait que cela, enfin elle ne savait rien à vrai dire, car elle pensait que ma fille était l'une de mes sœurs, elle connaissait son physique disant que je lui ressemblait, mais n'a jamais su qui j'étais, comment cela se faisait-il ce n'est  pas du tout logique? "Comment peux tu savoir à quoi ressemble ma f.... Céleste ? Je n'avais pas fini le mots fille, de peur de la réaction de tout le mode, je savais comment était Céleste en ce moment de crise d'adolescence, en crise de Tout le mode est contre moi, c'est pas juste. Mais je savais par dessus tout qu'elle lui ferait vivre tout ce qui a de plus horrible, était-il temps que je lui dise la vérité, là maintenant, où est ce que je devais faire comme ci de rien n'était ? Tu dis qu'elle me ressemble? Donc tu as déjà du la voir, en photo ? Où ça ? Je ne comprends pas pourquoi tu ne m'a pas reconnu ni moi, ni même ma sœur Théa enfin Mérida, vous la connaissez sous ce prénom vous ! Je me demandais vraiment comment cela était il possible, mais aussi ce que j'avais du mal à me rendre compte c'est que j'essayais de ne pas qu'elle reparte sur le fait d'avoir prononcer le son F.. Pour Céleste, j'avais peur, je la regarde et je la vois, entrain de me transpercer du regard, des yeux lasers m'auraient déjà dissous en cendre. Il était plus que temps que l'on parle Je suis le premier de la lignée de la famille de Aléana & Matthews James, oui je porte le prénom de mon père, mais c'est une tradition, mon arrière arrière arrière grand père s'appelait ainsi, comme quoi, dans la famille nous avions déjà des bons goûts. elle ne remarque pas ma première blague pour détendre l'atmosphère, complétement en train de m'écouter ou bien de me zapper mais bref, je ne pouvais pas m'arrêter là Dix ans après moi, mon frère et ma sœur des jumeaux sont nés, tu as pu rencontrer la plus magnifique sœur que j'ai et la seule ! Oui Céleste n'est pas ma sœur ni ma cousine, ni ma nièce, elle est ma famille, voilà pourquoi elle me ressemble tellement, voilà pourquoi je te dis que je ne suis pas pour toi ? Tu comprends je suis un père célibataire, avec une adolescence sur les bras et toi tu as 25 ans, j'en ai 34 que crois tu qu'elle vas croire ? Elle est tout ce que j'ai depuis que sa mère est partie à la naissance, ne demandant rien aucune nouvelle, sa mère était mon tout premier amour, j'ai était père à l'âge de 18 ans, comment crois-tu que j'ai du faire ? Même la presse en à parler pendant des jours, du James père célibataire, le James qui a mis enceinte une pauvre jeune fille qui ne demandait pas ça ! Je la regarde en soupirant, et met ma tête entre mes mains, je connaissais sa réaction - comment as tu pu me cacher ça, tu me vois belle-mère à mon âge ? Tu crois que je vais devenir sa meilleure amie ? Non mais allez SALUT pauvre MEC !!! - C'était cette réaction que ces filles avaient toutes, car elles avaient peur de cette jeune adolescente n'ayant eu comme seule présence féminine ma sœur Théa ! Vas-y va t'en ça sera plus simple, mais ne te trouve pas d'excuses avant de partir ou ne me traite pas ça ne sert à rien je sais déjà ce qui va se passer !

J'étais plus qu’abasourdie quand elle passa une main dans ses cheveux, juste le fait de la sentir me toucher me faisait frissonner, comment pouvait-elle encore être là à mes côté après que je lui ai tout dit de ma fille, de ma réaction. "J'ai perdu mon père.. J'ai été une fille qui ne voyait que par lui, et il est mort.. Crois tu vraiment que je t'aurais juger? Crois tu vraiment que je t'en voudrais si tu me quittes pour le bien de ta fille? Jamais.." Je ne connaissais rien d'elle non plus à vrai dire, et ce n'était pas sa réaction à elle qui me faisait le plus peur, c'était plutôt ce qui était en train de se passer, elle voulait rester à côté de moi, elle voulait de moi, même si j'étais le vilain petit canard de la famille. C'était assez compliqué de nous cacher, mais alors nous montrez le jour devant tout le monde, devant ma fille. " Elle ne t'acceptera pas, enfin elle ne te pardonnera pas, tu seras pour elle celle qui va lui voler son père, elle est tout pour moi, la seule présence féminine qu'elle écoute et celle de ma sœur, tu vas l'autre folle alliés de tout à l'heure, je tiens à préciser qu'elle n'ai pas du genre à rabaisser les gens du fait de notre nom, elle déteste même cela, elle n'est pas méchante et risque de me réduire en poussière de ne pas l'avoir suivi lorsqu'elle est partie tout à l'heure, que j'ai disparu sans même la prévenir. Il fallait qu'elle comprenne qu'elle n'allait pas s'en sortir ainsi et que cela aller être comme ci elle allait en enfer, ma famille avait des principes horriblement détestable.