Calliope A. Epaniole Admin
Messages : 39 Date d'inscription : 15/04/2014 Localisation : San Francisco
| Sujet: T. Mérida James ~ La vie est loin d'être un long fil tranquille. Sam 27 Déc - 1:30 | |
| JAMES THÉA MÉRIDA « Chéri ? Nous devrions nous dépêchez » ma mère était assise côté passager pensant que mon père conduisait, ma mère utilisait la méthode du petit chien les mains sur son ventre rond, nous étions le 24 juillet 1990, il devait être 19 h 00 où dans les environs quand ma mère avait reçu les première contractions, ils étaient en plein dîné important, quand ma mère perdit les eaux. Mon père était papa pour la deuxième fois et il ne savait toujours décidément pas comment s’y prendre surtout avec la réplique « Chérie ? Tu t’es fait pipi dessus ? » Avant qu’il ne comprenne ce qui était en train d’arriver. Et comme pour vengeance, auprès de mon étourdie de père, j’avais longtemps fait attendre avant de faire mon apparition à 7 h 00 le 25 juillet 1990 avec mon frère de jumeau Danny qui m’avait précédé de quelques minutes. Mais bon ça en valait la peine, nos parents était émerveillé par nos petite bouille de faux jumeaux à peine née j’étais aduler de tous. Si je prends la grosse tête ce n’est pas mon genre. A la maternité, j’avais fait également la rencontre de mon frère ainé, Matthews Junior James, le premier de la lignée, il me souriait, enfin il souriait au-dessus de nos deux lits à mon frère et à moi. J’étais déjà certaine que j’allais être très proche de lui. Que l’on allait être lié, enfin c’est ce que je croyais. A l’âge de 5 ans, j’avais tout ce que je désirais une famille uni, des parents aimant on pourrait croire que non, que nos parents sont mordu d’argent, mais une fois dans le foyer la vie est une seule chose la famille, le travail et l’argent a disparu de leur tête. Nous sommes le 25 décembre, sous le sapin se trouve les cadeaux par milliers, je suis sur le dos de Matthews, alors que Danny boude car je ne suis pas monté sur son dos à lui « Danny boude pas, Yiens Ye PAPA YOEL il est passé allez YIENS ! », il me faisait bien rire avec sa tête de boudeur, mais c’était tellement drôle. On avait fait qu’ouvrir des cadeaux pendant 10 min minimum, nous avions encore une fois était gâté par nos parents. lire la suite |
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Dernière édition par T. Mérida James le Sam 27 Déc - 1:47, édité 1 fois |
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Calliope A. Epaniole Admin
Messages : 39 Date d'inscription : 15/04/2014 Localisation : San Francisco
| Sujet: Re: T. Mérida James ~ La vie est loin d'être un long fil tranquille. Sam 27 Déc - 1:34 | |
| Danny Scott James frère jumeau « Danny !!! » je lui sautais dessus alors qu’il était encore allongé dans son lit en train de dormir, « Lève-toi ! Espèce de gros flémard ». Je lui sautais encore et encore dessus jusqu’à ce que je me retrouve les quatre fers en l’air, les couettes sur moi « Tu me fatigues Théa » personne d’autre que mes frères ne m’appelle Théa alors que c’est mon premier prénom. Je me relève totalement décoiffé toujours en pyjama, mais c’est mon rituel du matin. J’adore mon frère, il est mon âme sœur, à vrai dire nous sommes lié depuis toujours nous sommes frère jumeau. Nous nous adorons nous disputer et mais c’est notre façon de nous dire, je t’aime. © avatar night sky. | matthews junior james frère ainé « Bonjour Théa, moi c’est Matthews Junior James et je suis ton grand frère », je l’avais regardé avec mes grands yeux ronds et c’est comme ça que notre lien c’est forgé. Il sait tous ce que je fais et tout ce que je vis aux moments précis, j’ai un frère des plus protecteur Danny et l’autre qui me laisse un peu plus de responsabilité, il me laisse un peu plus d’espace, il m’aide à faire ma vie et à me cacher de nos parents et de notre famille, il est comme mon valet et je l’aime tellement. © avatar night sky. |
prénom prénom nom Nièce / Filleule « Théa je vais être papa, tu sais je ne le voyais pas comme ça, mais maintenant je suis-je vais l’être c’est tellement bien » Matthews était si heureux et si malheureux à la fois traité comme le vilain petit canard de la famille depuis qu’il avait aimé cette fille de « bas étage » comme disait mon père, et qu’il l’avait mis enceinte. Leur relation tourna au vinaigre, mais cette petit boule qui naissant de cette union fut une merveilleuse petite fille, qui était couverte d’amour. « Je veux la voir c’est ma nièce et ma filleule », je la considérais comme petite et fragile chose, alors qu’elle en est tout le contraire, elle ne connaît pas sa mère, mais elle m’a moi, et ça c’est fabuleux, on a grandi ensemble comme des sœurs, mais pourtant nous n’avons pas ce lien, nous avons un lien bien plus fort. Elle est le sourire de mon frère, sa lumière hors des ténèbres. Elle est le souffle nouveau de la famille. © avatar night sky. | prénom prénom nom nature du lien Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. © avatar night sky. |
Killian prénom nom amitié ambigüe "Bonjour Mademoiselle ", j'étais là regarder mon plan complètement paumée quand cette voix masculine, été apparue derrière moi. Un charmant blond ce tenait derrière moi, avec ce sourire magnifique. Il m'a aidé à me retrouver dans cette ville, nous avons pris de café et des déjeuners ensemble, nous liant d'amitié. Je n'aurais pas pensée que cette amitié aurait pu aller plus loin, je suis rentrée, il y a peu à San Francisco, le laissant, lui faisant mes adieux, ne pensant pas qu'il me suivrait. " Ma Famille me manque plus que je ne le pensais mes frères, et ma nièce, tu doit comprendre que je t'aime mais que je ne peux rester" j'avais dit cette phrase comme adieux laissant un dernier baiser sur ses lèvres, je l'apprécié plus que ce que je voulais laisser paraître. Mais je savais qu'il ne plairait pas à ma famille trop parfaite. © avatar night sky. | Julian Victor Hilton une taquinerie « Si j’avais su que je travaillerais avec de si jolies créatures, je me serais mis sur mon trente et un. » Voilà comment ça à commencer avec Killian, ce n’est pas possible comment certains peuvent être insupportable, il vient de commencer et il commence déjà à m’ennuyer, mais ça met un peu de piquant à notre métier, nous jouons, lui veut me mettre dans son lit alors que moi je joue avec lui, c’est assez amusant et nous avons lié une certaines amitié de taquinerie, on se taquine, joue ensemble mais rien de sexuels que des mots et des disputes de rigolades ensemble. « Moi si j’avais su qu’un surveillant pouvait être aussi immature, j’aurais été à la maternelle » © avatar night sky. |
prénom prénom nom nature du lien Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. © avatar night sky. | prénom prénom nom nature du lien Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. © avatar night sky. |
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